€35,00
📢 « Publié par Jean-Boîte Éditions, l'ouvrage accompagnant l'exposition La Mer imaginaire, sise à la Fondation Carmignac — solidarise l'élégance graphique à l'épaisseur de la pensée. L'ivresse, avec le flacon. Exemplaire. »
– L'Œil, Colin Lemoine
🇬🇧 [About]
The Imaginary Sea confronts the interrelation between the arts, the sciences and the ways in which the modes of exposure of the natural world condition our relation to the subaquatic kingdom, at once dreamlike and endangered.
"Far from a wholesale critical condemnation of anthropocentrism, the exhibition seeks to present a balanced, multifaceted perspective of our evolving relationship with the natural world. It operates if not in different temporalities, then, let’s say, different imaginaries. Akin to the emotional range of a Shakespearian comedy – or tragedy –, it intends to evoke joy, mystery, wonder, and, inevitably, melancholy as well as loss. Because, it goes virtually without saying, our relationship to the natural world, especially the sea and its enigmatic and unfathomable contents, is quite complex and fraught."
– Chris Sharp, curator of the exhibition
🇨🇵 [À propos]
La Mer imaginaire confronte le rapport entre les arts, les sciences et la façon dont les modes d'exposition du monde naturel conditionnent notre rapport au monde animal subaquatique rêvé et menacé.
« Loin d’être une condamnation ou une critique massive de l’anthropocentrisme, cette exposition cherche à présenter une vision équilibrée et plurielle de notre relation évolutive avec le monde naturel. Ce faisant, elle se déploie, sinon dans des temporalités, du moins des imaginaires différents. Dans un registre émotionnel proche d’une comédie (ou tragédie) de Shakespeare, elle prétend susciter tout à la fois le rire, le mystère, l’étonnement, mais aussi, inévitablement, un sentiment de perte et de mélancolie. Car – et cela va presque sans dire – notre rapport au monde naturel, et spécifiquement à la mer et à sa teneur énigmatique et insondable, est à la fois complexe et troublant. »
– Chris Sharp, commissaire de l’exposition